Icons caret-sm-white star-half circle-drag icon-checkmark-nocircle icon-envelope Left Arrow Scroll down Scroll down close Expand Scroll down quote-marks squiggle Play Play Pause Pause long squiggle squiggle 1 close filter-icon Info Information Plus Icon Minus Icon Check Icon Check Icon

Livraison gratuite sur les commandes de 180 $ CA et plus. Retours toujours gratuits

Canada Drapeau Canada français Modification
Astuces de course

Courir avec des allergies : Ce qu’il faut savoir pour des courses sans symptômes

Deux coureurs sur un chemin pavé bordé d’herbes et d’arbres.
Flèche vers le bas
Flèche vers le bas

Le printemps est enfin arrivé et les gens se réjouissent. Toutefois, les personnes qui ont des allergies se demandent comment courir en toute sécurité et éviter que les symptômes d’allergie n’affectent leur entraînement.

Après des mois passés à éviter le temps hivernal et à hiberner dans nos maisons sur nos tapis roulants, nous pouvons enfin reprendre nos courses à l’extérieur et profiter du soleil. Bien sûr, l’arrivée du printemps se traduit également par le réveil des plantes. Qui produisent du pollen. Pour les quelque 50 millions d’Américaines et d’Américains qui souffrent d’allergies au pollen, le printemps représente un défi pour les séances d’entraînement.

Connaissez votre ennemi

La première étape pour courir avec des allergies est la prévention. Et, quand il s’agit de courir, cela signifie connaitre ses déclencheurs. Vous êtes peut-être plus allergique à certains types de pollen qu’à d’autres, comme les plantes herbacées et l’herbe à poux. Bien que vous puissiez identifier visuellement la provenance de certains pollens — en observant les plantes qui sont en fleurs et leurs effets sur vos allergies — ce n’est vraiment pas la meilleure solution.

D’une part, cette approche vous demande d’être constamment au courant des allergènes actifs dans votre région. D’autre part, vous ne saurez pas si vous êtes réellement allergique à moins d’aller courir et de ressentir ces symptômes désagréables. Il s’agit donc d’une stratégie lente, un peu difficile et qui exige que vous vous soumettiez à un barrage d’allergènes potentiels.

Idéalement, vous pouvez consulter un allergologue qui vous fera passer des tests pour détecter les allergènes les plus courants dans votre région. Grâce à un simple test de piqûre épidermique, votre médecin peut identifier de façon précise les allergènes que vous devez éviter. Une fois que vous possédez ces informations, vous pouvez planifier en conséquence.

Savoir c’est pouvoir

Si vous connaissez vos assaillants allergènes, vous pouvez prendre des mesures pour minimiser les symptômes que vous pourriez ressentir lors de vos courses. Premièrement, vous pourriez tout simplement éviter de courir dans les endroits où les plantes qui vous affectent poussent. Évidemment, si vous êtes allergique à une plante très courante, comme certains types d’herbacées, ce ne serait pas très pratique.

Heureusement, il existe des ressource — y compris certains sites Web de conditions météorologiques — où vous trouverez un rapport détaillé du niveau d’allergènes spécifiques à votre région. Par exemple, ma ville affiche actuellement des niveaux élevés de pollen de genévrier, de chêne et de cyprès chauve. Heureusement, aucun de ces allergènes ne m’affecte. Ce qui signifie que je peux courir dehors sans aucune précaution supplémentaire.

Les bons outils

En plus d’éviter les plantes problématiques, vous pourriez décider, après avoir consulté votre médecin, de prendre des médicaments pour tenter de réduire les symptômes de ces allergies. Bien que cette approche soit très efficace, elle peut aussi être un peu risquée.

Certains médicaments, comme les décongestionnants, peuvent avoir des effets secondaires potentiellement graves, comme une hausse de la pression sanguine et du rythme cardiaque. Ainsi, ces médicaments ne font pas bon ménage avec une séance d’entraînement stimulante. En fait, de nombreux décongestionnants sont interdits dans les compétitions professionnelles et leur utilisation peut entraîner des disqualifications.

Choisissez plutôt des antihistaminiques qui n’entrainent pas de somnolence. Bon nombre de ces médicaments sont en vente libre, mais consultez tout de même votre médecin pour vous assurer qu’ils n’auront pas de répercussions négatives sur votre entraînement.

Le printemps est une saison passionnante pour les athlètes, une période pendant laquelle nous pouvons enfin retourner dehors et profiter du soleil. Et grâce à des recherches pratiques et une bonne préparation, même les personnes qui souffrent d’allergies peuvent profiter pleinement de la saison.

Les conseils de notre rédactrice sont uniquement destinés à des fins d’information ou d’éducation générale. Nous vous encourageons à consulter votre médecin ou votre professionnel de la santé avant de modifier votre routine de course, votre alimentation ou votre programme de mise en forme.

Étiquettes
Écrit par
Jonathan Thompson

Amateur de conditionnement physique

Jonathan avec un chien dans la neige

Mon intérêt pour le conditionnement physique a commencé lorsque j’étais jeune, principalement en tant que stratégie de survie d’un asthmatique maigrichon. Après avoir obtenu mes certifications d’entraîneur personnel et de nutritionniste, j’ai commencé à rédiger des articles sur le conditionnement physique. À ce stade, la course est une partie non négociable de ma vie.